Tandis qu’approche la date du cinquième anniversaire de l’élection du pape François, on entend souvent répéter que nous vivons une page dramatique et absolument inédite de l’histoire de l’Eglise. Ce n’est que partiellement vrai.
Cette année marque le triste anniversaire de la loi 194 du 22 mai 1978, qui introduisit l’avortement en Italie. C’est une triste commémoration puisque les statistiques du Ministère de la Santé indiquent que près de 6 millions d’enfants ont été éliminés à cause de cette loi.
Honorée dans la mort, par la mort, pour la mort. Il y a quelque chose de macabre dans l’insistance républicaine à rassembler les dépouilles de ses grands hommes – et, en l’occurrence, femmes – dans un temple sans issue, un cul-de-sac des destinées humaines. Le Panthéon rassemble l’ensemble des « dieux » à dimension humaine, les cadavres…
Le chancelier de l’Académie Pontificale des Sciences, Mgr Sanchez Sorondo, a fait l’éloge de la Chine comme le meilleur modèle de réalisation de la doctrine sociale de l’Eglise (http://www.asianews.it/notizie-it/Mons.-Sanchez-Sorondo:-La-Cina-migliore-realizzatrice-della-dottrina-sociale-della-Chiesa-43033.html), où le “bien commun” est la valeur primordiale (« J’ai rencontré une Chine extraordinaire : ce que les gens ne comprennent pas, c’est que le principe central…