L’Occident a connu dans les dernières décennies une Révolution anti-familiale sans précédents. L’un des pivots de ce processus de désagrégation de l’institution familiale fut la séparation des deux fins premières du mariage, la procréation et l’union des époux.
Après l’Allemagne et la Hollande, c’est au tour de l’Autriche d’introduire le “troisième sexe” dans ses documents et certificats officiels. C’est ce qu’annonce une sentence récente de la Cour constitutionnelle autrichienne qui, en vertu de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, a reconnu « le droit à l’identité de genre individuelle ».
Par leurs slogans provocateurs et obscènes, les féministes d’il y a 50 ans se vouaient plus de haine encore à elles-mêmes qu’aux hommes ; haine de la vie, du bien et de la paix, la leur et celle des autres, haine des vérités du christianisme et de ses inégalables beautés spirituelles et tangibles.
Organisée par le professeur Roberto de Mattei, une rencontre internationale sur le thème Modernisme ancien et nouveau : les racines de la crise dans l’Eglise, s’est tenue le samedi 23 juin 2018, dans la salle de conférence de l’Hôtel Massimo d’Azeglio, au cœur de Rome.